Le Président de la République Son Excellence Ismail Omar Guelleh est attendu ces jours-ci au second Sommet du Forum sur la Coopération Chine-Afrique qui aura lieu du 4 au 5 décembre à Johannesburg en Afrique du Sud.
Il participera aux travaux de cette rencontre aux côtés de son homologue chinois, M Xi Jipping et d’une cinquantaine d’autres Chefs d’Etat et de Gouvernement d’Afrique.
Dédié au lancement d’un rythme encore plus soutenu dans les échanges entre la Chine et les Pays d’Afrique, le second Sommet du Forum sur la Coopération entre la Chine et l’Afrique intervient 10 années après la 1ère édition qui l’a vu naitre.
Il aura pour principal ordre du jour l’identification de nouveaux secteurs de collaboration et de partenariat gagnant-gagnant entre la Chine et les Pays africains.
En clair, ce forum sommera la Chine et l’Afrique à dépasser le cap, certes réussi, d’entretenir de partenariats autour de la construction d’infrastructures de base telles que les routes, les voies ferrées et les aéroports.
Dans la redéfinition stratégique des partenariats entre la Chine et l’Afrique à laquelle dispose ce sommet, les pays du Continent noir souhaitent l’instauration d’une coopération plus accrue dans le domaine de l’industrie et de la modernisation de l’agriculture.
Ils souhaitent aussi bénéficier d’un plus grand transfert de technologie.
Les Pays d’Afrique entendent concrètement que ce transfert de technologie se déploie à travers l’attribution d’un nombre plus important de bourses à leurs étudiants en Chine et, à travers la formation sur le tas, dans les structures que la Chine possède sur le continent, un effectif plus conséquent de cadres et de techniciens intermédiaires africains.
La Chine sollicite quant à elle un renforcement de son statut de partenaire privilégié d’Afrique.
Elle entend jouir d’un cadre légal encore plus prononcé pour la facilitation de son commerce avec les pays africains.
Pékin souhaite aussi l’émergence d’une plus grande solidarité sino-africaine dans les instances internationales, notamment au sein des Pays signataires de la convention des nations unies pour le changement climatique.
La ville sud africaine de Johannesburg qui abrite les travaux de ce sommet croule ces jours-ci sous le poids des préparatifs liés à l’accueil et à la sécurité des délégations présidentielles étrangères qui prendront part au second forum sur la Coopération Chine -Afrique.
Plusieurs structures administratives de la ville se sont vues transformer en stand de confection de badges pour participants au sommet chine-Afrique.
Les artères principales de la ville sont ornées, à la faveur de l’évènement, de spots lumineux et de banderoles souhaitant tous la bienvenue aux illustres invités.
Les routes sont nettoyées plusieurs fois par jour et un important personnel affecté à la propreté et à l’hygiène procède en permanence au ramassage de détritus sur la voie publique.
La sécurité est renforcée aux abords des hôtels qui abriteront les délégations officielles étrangères participant au sommet Chine Afrique.
Il participera aux travaux de cette rencontre aux côtés de son homologue chinois, M Xi Jipping et d’une cinquantaine d’autres Chefs d’Etat et de Gouvernement d’Afrique.
Dédié au lancement d’un rythme encore plus soutenu dans les échanges entre la Chine et les Pays d’Afrique, le second Sommet du Forum sur la Coopération entre la Chine et l’Afrique intervient 10 années après la 1ère édition qui l’a vu naitre.
Il aura pour principal ordre du jour l’identification de nouveaux secteurs de collaboration et de partenariat gagnant-gagnant entre la Chine et les Pays africains.
En clair, ce forum sommera la Chine et l’Afrique à dépasser le cap, certes réussi, d’entretenir de partenariats autour de la construction d’infrastructures de base telles que les routes, les voies ferrées et les aéroports.
Dans la redéfinition stratégique des partenariats entre la Chine et l’Afrique à laquelle dispose ce sommet, les pays du Continent noir souhaitent l’instauration d’une coopération plus accrue dans le domaine de l’industrie et de la modernisation de l’agriculture.
Ils souhaitent aussi bénéficier d’un plus grand transfert de technologie.
Les Pays d’Afrique entendent concrètement que ce transfert de technologie se déploie à travers l’attribution d’un nombre plus important de bourses à leurs étudiants en Chine et, à travers la formation sur le tas, dans les structures que la Chine possède sur le continent, un effectif plus conséquent de cadres et de techniciens intermédiaires africains.
La Chine sollicite quant à elle un renforcement de son statut de partenaire privilégié d’Afrique.
Elle entend jouir d’un cadre légal encore plus prononcé pour la facilitation de son commerce avec les pays africains.
Pékin souhaite aussi l’émergence d’une plus grande solidarité sino-africaine dans les instances internationales, notamment au sein des Pays signataires de la convention des nations unies pour le changement climatique.
La ville sud africaine de Johannesburg qui abrite les travaux de ce sommet croule ces jours-ci sous le poids des préparatifs liés à l’accueil et à la sécurité des délégations présidentielles étrangères qui prendront part au second forum sur la Coopération Chine -Afrique.
Plusieurs structures administratives de la ville se sont vues transformer en stand de confection de badges pour participants au sommet chine-Afrique.
Les artères principales de la ville sont ornées, à la faveur de l’évènement, de spots lumineux et de banderoles souhaitant tous la bienvenue aux illustres invités.
Les routes sont nettoyées plusieurs fois par jour et un important personnel affecté à la propreté et à l’hygiène procède en permanence au ramassage de détritus sur la voie publique.
La sécurité est renforcée aux abords des hôtels qui abriteront les délégations officielles étrangères participant au sommet Chine Afrique.