Le Chef de l’Etat djiboutien, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a présidé aujourd’hui, dimanche, la conférence sur le Rapprochement entre l’Administration et les Administrés qui a eu lieu au Palais du Peuple.
Cette conférence dont le but ultime consiste à permettre une amélioration significative des prestations de service rendues par l’Administration djiboutienne a réuni, autour du Président de la République, l’ensemble des membres du Gouvernement et leurs principaux collaborateurs dont, les Secrétaires Généraux, les Directeurs de départements, les Conseillers techniques…
La réalisation d’une plus grande accessibilité aux cadres et responsables de l’Administration, l’instauration d’une plus grande capacité de nos Institutions à traiter les doléances du public dans les délais impartis et, l’expression d’un plus grand respect des horaires de travail ont d’emblée, au cours de cette réunion, été répertoriées comme des préalables indispensables à l’amélioration du rendement de notre Administration.
« Je ne peux pas tolérer par exemple qu’un habitant de Balbala qui arrive devant un service administratif au centre ville, s’entende dire que la personne concernée est absente momentanément et qu’il faut revenir dans deux heures. Pour qu’ensuite, il se trouve dans l’obligation de revenir un autre jour parce que l‘heure de fermeture est arrivée » a dit en substance le Président Guelleh, dans le cadre d’une importante allocution faite à la tribune de cette réunion.
« Je veillerai à la mise en œuvre des dispositions retenues pour améliorer les relations entre administration et administrés, car je sais qu’elles renforceront notre démocratie et faciliteront les conditions de vie de la population » a également affirmé le Chef de l’Etat, souhaitant que notre Administration soit le reflet des transformations modernes dont fait l’objet notre pays ces dernières années.
« Notre économie a été totalement transformée. Elle est plus moderne, plus forte. Notre population a complètement changé. Elle est plus jeune et plus instruite. Notre Administration doit suivre cette transformation de notre société » a effectivement déclaré le Président de la République.
« Ce que nous avons fait, par des progrès aussi rapides, pour notre développement économique et social, il faut le réussir sur le plan de la démocratie et de la transparence » a soutenu le Président Guelleh, révélant sa foi en la capacité des cadres et hauts responsables du secteur public djiboutien « à relever le défi » de la modernisation définitive de notre Administration.
Cette conférence sur le rapprochement entre l’Administration et les Administrés a manifestement valeur de prélude à un recadrage social de la politique du Gouvernement djiboutien qui, sous la houlette du Président de la République, entend désormais réorganiser sa priorité autour de la promotion des droits administratifs et démocratiques du citoyen.
A noter que la réforme de l’Administration djiboutienne dans laquelle s’inscrit la conférence d’aujourd’hui a précédemment bénéficié d’une série de mesures dont, le regroupement de nos institutions en fonction de la synergie de leurs missions et la concession de budgets nécessaires à la réalisation de leurs tâches.
Cette conférence dont le but ultime consiste à permettre une amélioration significative des prestations de service rendues par l’Administration djiboutienne a réuni, autour du Président de la République, l’ensemble des membres du Gouvernement et leurs principaux collaborateurs dont, les Secrétaires Généraux, les Directeurs de départements, les Conseillers techniques…
La réalisation d’une plus grande accessibilité aux cadres et responsables de l’Administration, l’instauration d’une plus grande capacité de nos Institutions à traiter les doléances du public dans les délais impartis et, l’expression d’un plus grand respect des horaires de travail ont d’emblée, au cours de cette réunion, été répertoriées comme des préalables indispensables à l’amélioration du rendement de notre Administration.
« Je ne peux pas tolérer par exemple qu’un habitant de Balbala qui arrive devant un service administratif au centre ville, s’entende dire que la personne concernée est absente momentanément et qu’il faut revenir dans deux heures. Pour qu’ensuite, il se trouve dans l’obligation de revenir un autre jour parce que l‘heure de fermeture est arrivée » a dit en substance le Président Guelleh, dans le cadre d’une importante allocution faite à la tribune de cette réunion.
« Je veillerai à la mise en œuvre des dispositions retenues pour améliorer les relations entre administration et administrés, car je sais qu’elles renforceront notre démocratie et faciliteront les conditions de vie de la population » a également affirmé le Chef de l’Etat, souhaitant que notre Administration soit le reflet des transformations modernes dont fait l’objet notre pays ces dernières années.
« Notre économie a été totalement transformée. Elle est plus moderne, plus forte. Notre population a complètement changé. Elle est plus jeune et plus instruite. Notre Administration doit suivre cette transformation de notre société » a effectivement déclaré le Président de la République.
« Ce que nous avons fait, par des progrès aussi rapides, pour notre développement économique et social, il faut le réussir sur le plan de la démocratie et de la transparence » a soutenu le Président Guelleh, révélant sa foi en la capacité des cadres et hauts responsables du secteur public djiboutien « à relever le défi » de la modernisation définitive de notre Administration.
Cette conférence sur le rapprochement entre l’Administration et les Administrés a manifestement valeur de prélude à un recadrage social de la politique du Gouvernement djiboutien qui, sous la houlette du Président de la République, entend désormais réorganiser sa priorité autour de la promotion des droits administratifs et démocratiques du citoyen.
A noter que la réforme de l’Administration djiboutienne dans laquelle s’inscrit la conférence d’aujourd’hui a précédemment bénéficié d’une série de mesures dont, le regroupement de nos institutions en fonction de la synergie de leurs missions et la concession de budgets nécessaires à la réalisation de leurs tâches.